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Les poèmes métalliques

25 juillet 2017

Timonier, timonier

Sur ton bateau je me suis posé,

En parapente, sur ton étrange engin, tenu de haut par un amour fort qui m'empeche de me laisser sombrer.

Ton bateau m'était vide, toi, Capitaine Némo, tes mystères ne me sont pas dévoilés.

J'ai du partir pour ne pas plonger, la femme que je cherche m'est invisible.

C'est peut-etre ton bateau, curieux bateau, destination mysterieuse, et moi en haut, je te suis filer.

Je m'arrete ici, je me pose, la terre me retient, et les miens, le maitre aussi me dit de m'arreter.

Je te souhaite le meilleur, il n'est pas donné à tous la liberté,

Le chasseur de mes yeux, repudié et humilié devant les tiens, reste en sommeil fou non loin.

La vengeance sommeille en mon coeur, et en même temps, j'ai peur, de ce double, dont le coeur est si semblable au mien.

L'on pourrait chuter. Il y a peu de place pour mes monstres à tes cotés.

Pourtant, j'en ai toujours rever, d'un voyage au travers des océans des subtilités humaines guidé par un capitaine aventurier ...

S'il te plait, retarde, retarde encore, ou au contraire presse toi, vers ce moment ou tu sentira que ce qui nous pousse est plus fort, plus abrupt et plus doux que toi, moi, et toutes les brisures du monde.

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22 juillet 2017

Petit ange

Je t'aime petite soeur,

Nous autres, tes amis, ta famille, tes parents, nous t'aurons accompagnée et portée jusqu'au bout, nous aurons été chercher le bonheur jusque dans tes plus sombres jours.

La maladie a gagné, comme elle s'était manifesté deux fois dans notre famille, mais je crois, que toi, tu l'as vaincu pour nous,

Il nous semble que tu es un ange maintenant, et que tu veilles entre autre sur nous.

Puis-je te laisser m'accompagner, j'écoute, j'écoute, quand bien même j'aurais tant préféré te voir grandir par les tiens.

J'aurai aimé te serrer dans mes bras, et te dire combien j'ai tenu à toi.

J'aurai tant aimer trouver avec toi le chemin de la guérison et domestiquer pour toi tous les dangers.

Puisse ta paix et ta joie me faire, comme maintenant, pleurer.

Je me rappelle de toi rieuse, je me rappelle de toi battante, je me rapelle de toi touchante, je me rappelle de toi posée.

Je me rappelle de toi si gentille, si sensible ... Si drôle aussi ... 

Je n'y pense pas trop, ni à l'horreur que tu as subi,

Et j'espère que nous aurons le courage de resourire et de profiter de ce que tu nous as donné...

Tu as fini sans pouvoir marcher, tu as fini sans pouvoir parler, tu avais quinze ans ....

Merci d'avoir tenu tout ce temps ... Puisse tu nous aider à cheminer. Puisse tu m'aider à pardonner.

Je suis si triste tu sais, tu étais si grande dans ma joie,

Ce n'est plus pareil tu sais. Nous te sentons encore tu sais, mais notre joie de t'avoir eu toi, la sens tu ?

Triste joie ... Le monde a ses mérites pourtant ..

Je resterai ton grand frêre qui t'aime quand bien même tu serais mon ange ... :).

18 mars 2017

Une aile à demi

Tu me manques parfois,

Je me sens incomplet.

Comme si j'étais un oiseau

Auquel il manquerait une aile.

22 janvier 2017

La joie

Tu ne crois plus,

Tu fini par te dire que c'est la vie qui est comme ça,

Tu devrais être triste, et pourtant de la joie ...

La joie d'aimer et de faire partie du monde.

Se croire si grand et être si petit, et pourtant

La joie rassurante de n'être qu'un passant  ...

Ainsi avance ma vie, ceci n'arrive pas qu'aux autres.

Ce n'est pas une question de mérite,

Ce n'est pas une question de justice,

Cela tient-il à la chance ?

Ecoute, ecoute, etire, etire le temps qui passe ...

 

10 janvier 2017

Le jour ou

J'ai peur de cette escalade de violence,

Tu me fais ça, je te fais ça, comme une forme de justice abérante. Ca ne rime à rien, et pourtant c'est nous ...

Je t'aimerai sans cesse, je t'aime heureuse, je t'aime rêveuse ..

Nous sommes séparés depuis longtemps, et je suis élevé sur une montage de haine,

Mon ego est blessé, mon coeur fracturé, mon esprit refulsé.

Je n'attends plus grand chose, ma paix et ma joie, et je t'envoie du renouveau dans nos pensées ...

Puisse ma haine vous avoir blessé... juste blessé.

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7 janvier 2017

Tu traines

Tu traines mon ami, tu traines,

Même moi qui tire la pate,

Je me fais l'impression d'ouvrir la voie,

Tu traines mon ami, tu traines.

29 décembre 2016

Un trou

Je vais le dire comme ça ... ici ...

Tu n'as pas ma voix, faisons avec,

J'ai une cigarette au bec et une sinusite qui me prend la tête,

Depuis quelques mois j'ai des douleurs louches au niveau de la poitrine,

Je tousse beaucoup. Je crois que je suis malade ...

Je ne veux pas voir les docteurs, il m'est hors de question d'en passer par une case chimio et guérison improbable. La mort plutot que ça.

Alors je ne dis rien, je sers les dents pendant que ma soeur vit ses derniers jours, personne ne sait, à part ce blog et ses, dieu me garde, visiteurs.

 

 

17 décembre 2016

Reward

reward

4 décembre 2016

Fight

I fought,

Thirty six years,

I kept fighting.

To live, to survive, to love once and once more.

My sister will die, this means a lot.

No wife, no children, friends occupied and I'm nothing to change anything.

I have enough of gloomy minds, including mine.

Events coming seems dark,

People are getting more and more selfish and agressive,

Hopeless, on their tv, on their telephone, they run of all what is "dirty" and "death".

People became cowards, and strong ones are getting exausted making the job for everyone.

I don't see lighted path in my world.

I'd like to do something, but I can't fight, I get angry and rejected ...

Please, I beg, lighten me, show me the paths ...

27 novembre 2016

Prostituée

Je la vois depuis des semaines,

Elle est sur le trottoir, elle est jolie, elle a l'air triste, elle a l'air vivante ..

Je la trouve si belle, je lui ai causé, l'invitant, naïf, à prendre un café, elle a réfusé ..

Elle me fait cette impression que je partage quelque chose avec elle,

Peut-être les gens, et les situations violentes auquels je me suis melé.

Combien de temps peut-t-elle tenir comme ça ?

22 novembre 2016

Automne

 

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Pendant que les élites retournent leurs vestes et que je marmonne.

On respire en forêt, au bord d'un petit étang, pas loin des champs ...

La route y mène. Une photo zen ...

Il fait frais, les feuilles jonchent le sol, la terre est humide.

C'est l'automne.

 

19 novembre 2016

Le facho et la parasite

Bienvenue chez les connards.

Sourire.

Allez quoi, tire pas la gueule.

19 novembre 2016

Il y a un paquet de gens

Qui pense qu'être intelligent,

C'est être méchant.

Jusqu'à quel point la vie leur donne-t-ils raison ?

13 novembre 2016

J'en ai marre

Je voudrais être un oiseau, un bateau, une moto,

Je voudrais être un nuage, une montagne, une ourse.

10 novembre 2016

Tendresse

J'ai le cerveau en ebullition et l'esprit en colère.

Il fait froid et j'ai le dos qui glace par ces nouvelles d'outremer

J'ai envie de dormir et de tendresse ...

Ou es tu, ou es-tu, princesse ?

9 novembre 2016

Bruits de bottes

Tu les entends,

Les bruits de bottes ?

A l'ancienne et pire ..

 

8 novembre 2016

Humanité, Humanité

Quand cesseras tu de tuer ?

Poil au nez.

4 novembre 2016

Paisible

Je suis sorti retro vers vingt deux heures, j'écoutais du piano.

Je bavassse en texto avec une fille ... je la distrais, elle m'occupe.

Je fini dans un bar, du sax, je revasse en regardant curieux les gens.

Je suis bien je crois... Devant de l'ambre à écouter la musique.

Je suis presque paisible, même.

Je crois que je suis heureux .. moi et mes cent mille pourtant.

Je rentre, j'ecris trois mots.

Regarde, regarde, écoute, écoute j'ai envie de crier ...

Profite, profite ... de ces instants qui passent ...

4 novembre 2016

Résonnance

Je resonne, tu résonnes, nous résonnons,

Un jour, je prenais le chemin de l'hopital, pour pneumonie,

Le même jour, mon grand-père s'y retrouvait aussi, pour alzheimer.

Et ma soeur, pour cancer ...

Ce jour ci, ces jours là,

Marqués d'un triste fer.

2 novembre 2016

Notre-dame de Paris

Je me suis assoupi en rentrant du travail.

Je rêve de toi, il y a des années, j'ai senti comme un choix de partir, disparaitre du passé.

Dans ce rêve, tu m'invitais dans Notre-dame. Mécontent du Dieu, je ne t'y ait pas accompagné et t'y ai regardé y rentrer souriant.

Je suis aller te voir sur internet, je t'ai vu en video, tu envoies des satelites dans l'espace et tu as l'air heureux.

Ami, le sais-tu, le sais-tu, combien j'aimerai rentrer ?

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