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Les poèmes métalliques
23 décembre 2017

Le voyageur solitaire

Il parti, loin, loin, loin d'ici,
Pour voir des autres et du pays,
Se réconcilier et s'appaiser,

Faire la paix avec le passé.

Le voyageur ses sens alertes,
Se nourrit des Hommes et de la Terre,
Sans doute cherche t'il sa joie,
Peut-être ne trouvera t'il que soit.

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23 décembre 2017

Calculs

Interpolations hasardeuses,

Interpretations explosives,

Je vois, je lis, j'ecoute, je ressens, je hurle en songes,

Intuitions effrayées.

Ma balance ne me montre pas d'issues,

Les sagesse lues et entendues me sont absconces à appliquer.

Que dois-je penser ? Ou dois-je aller ?

La tristesse m'a rendu fou

23 décembre 2017

Réallumer

Je pensais sincèrement que je ne me rallumerai pas en dededans.

Et puis j'essaie. Quand même. Pour laisser une chance.

L'esprit en déroute devant le drame.

Le temps passe. Il court même. Il ouvre son chemin.

Le néant n'est jamais loin.

Il est très touchant à ce que nos vies ne valent pas grand chose et que neanmoins elles soient prolongées.

Courage, courage ...

23 décembre 2017

L'alter égo des songes

Il m'apparait en reve,
Je le vois, lui, moi,
Rusé, brutal, violent, charmeur,
Il me regarde d'accuité moqueur,
J'en tombe à genoux,
L'affrontement m'est impossible,
La force de mon coeur,
Est trop loin de celles
Nées de mes peurs.
Depuis quand me protèges tu,
Oh, toi, mon guerrier d'ombre ?

 

23 décembre 2017

Sombre

Je voyage plus ou moins.
Pas completement en fait, je fais aussi mon deuil et je m'aere un grand coup, je prends de l'air pour des annees ... des siecles j'espère même. Ici ou même ailleurs, loin des exigences et tracas invraisemblables voir pathetiques et atroces du monde des Hommes ... Tu pourrais me dire, c'est la vie qu'a prit ta soeur, pas nous . Oui, biensur, heureusement ! Mais je m'en prends à qui alors ?
A personne. Il n'y a personne ici, ça tombe bien. Enfin si, il y a vous, il y a eux aussi, et j'amène qui veut dans l'insondable poésie du monde ... une poesie sombre, une poesie infinie, légere, une poesie douce et ephémère, la vie qui se prolonge en riant, ou en chialant sa mère le long des lignes qui traversent le Tout ... Tu sais, c'était juste quinze ans, mais plein de toi ... Tu nous manques si fort que nous tenons à peine debout, tu nous manques si fort que nous nous nous sommes explosés en morceaux éparses que nous ramassons avec tendresse, drôlerie, peur, ou degout ... nous n'etions peut etre pas la meilleure famille ni les meilleurs amis du monde, mais nous t'aimions sans limite. Peut-être tu nous avais choisi ainsi, meme pour seize petits ans ... merci petit chaton ... Uno !
Et toi là, profite des tiens. Un jour tu vas creuver, pareil pour tes amours. Alors un peu de panache et beaucoup de courage !

 

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23 décembre 2017

Tu ne trouves pas

Qu'une mouette on dirait

Une endive avec des ailes ?

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Les poèmes métalliques
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